Les éléments majeurs présentés
- Il y a 786 postes dont 576 sous statut d’emploi
- La répartition : hommes 63% /femmes 37%, elle est plus accentuée pour les postes de D1 (77%/23%). Cette répartition pose de nouveau le sujet du “plafond de verre” pour les femmes
- Les agents en poste ont en grande majorité plus de 40 ans
- Il existe de nombreuses disparités entre personnels sous statut et hors statut
- Nos métiers peinent à inciter des vocations, probablement pour des raisons de conditions de travail, de rémunération et de précarité
- Pour les mobilités, de nombreux postes (67) restent sans candidats à l’issue du second tour ce qui pose évidemment un réel problème
- Pour 59% des D1, les mobilités ont été inter-régionales
Commentaires
La situation apparaît comme inquiétante sur les postes de DEA et DAT dont les conditions de travail méritent d’être très sensiblement améliorées.
Nous faisons un focus particulier au sujet des D2 dont les conditions d’entrée dans le métier montrent qu’elles sont particulièrement difficiles. Nous travaillons pour améliorer le parcours avant l’entrée en fonction pour consolider les intentions et améliorer la formation pour éviter que les agents soient démunis une fois en place (information, stages, …) et éviter les départs prématurés.
Nous nous inquiétons que des agents refusent le statut d’emploi pour des raisons d’obligation de mobilité pour les entrants qui ont déjà plus de 8 ans dans le poste et que des postes sous statut soient attribués via des CDD
CDD
Contrat à durée déterminée
pluriannuels.
Nous sommes vigilants sur la place des femmes dans nos métiers, elles y ont toute leur place.
Les faisant-fonction dont les conditions de rémunération ne sont pas à la hauteur du travail, surtout quand la mission est longue, la reconnaissance financière doit être améliorée et harmonisée.
Pour les mobilités, sollicitez-nous pour vous informer, nous aider à défendre vos situations...
Vos représentants : Philippe Testard (D1/D2/D3), Luc Champin (D1/D2/D3) et Jean-Louis Crassat (DEA/DAT/D4)