Bien que ses circonstances n’en soient pas encore connues précisément, ce drame illustre la difficulté d’accueil du public dans un contexte de crise récurrent. Il appelle une réponse en termes de protection des agent-es des services publics.
Et, bien entendu, une politique sociale digne de ce nom qui permette à nos concitoyen-nes, en particulier les demandeurs et demandeuses d’emploi et les précaires, de relever la tête.
À ce titre, l’abandon de l’actuel projet de réforme de l’assurance chômage, gage de baisse massive du nombre de demandeurs et demandeuses indemnisé-es et du montant des indemnisations revêt un caractère d’urgence.
