Pour les mêmes raisons, les syndicats de la CFDT
	CFDT
	Confédération française et démocratique du travail
 ont refusé de siéger à ce même CSE
	CSE
	Conseil Supérieur de l’Éducation
 du 12 juillet 2018.
 
 Ils ont collégialement dénoncé la méthode de travail, l’absence de concertation, de consultation comme la politique autoritaire et la vision idéologique de l’école qui entre en contradiction avec l’école de la confiance ou le pragmatisme prôné dans les médias.
 
 Depuis un an la distance entre le discours et la manière de procéder de ce ministère constitue un empêchement à une évolution de l’école qui permettrait d’enrayer les inégalités et de faire réussir tous les élèves. 
 
 La communauté éducative réclame que l’école ne soit pas l’affaire de parti pris mais l’objet de débats appuyés sur les travaux de la recherche et la concertation avec ceux qui sont directement concernés.
 L’école a besoin de temps, de sérénité, de réelle confiance et de moyens pour lui permettre d’être le  lieu d’émancipation et de réussite de tous les élèves. 
 
 Paris le 12 juillet 2018


