L’objectif, pour l’intersyndicale, était d’avoir la garantie que jusqu’au niveau des fiches de service le calcul du service hebdomadaire des agent·es n’aboutirait pas à une augmentation de la charge de travail. Ces garanties ont été données par la DGER DGER Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche au niveau du logiciel Guépard et de la saisie des services des enseignant·es.
Si la responsabilité de cette opération va reposer essentiellement sur les D2, la DGER s’est engagée dès la semaine prochaine à commencer à informer puis à former les personnels de direction pour que cette modification de la saisie des éléments soit correctement réalisée sans impacter le temps de service hebdomadaire des enseignant·es.
Pour la rentrée, la DGER s’est également engagée à garantir une certaine transparence.
Les tableaux de saisies devront être transmis aux enseignant·es afin qu’ils puissent mieux comprendre leur fiche de service… L’intersyndicale a pris acte de cette annonce.
Dans tous les cas, l’intersyndicale appellera à la plus grande vigilance à la rentrée prochaine pour faire respecter les engagements pris.
Enfin, quittant le seul champ budgétaire et afin de mieux réussir la mise en place de ces « nouveaux » stages collectifs, l’intersyndicale a demandé que la DGER préconise des instructions calendaires et pédagogiques. Elle s’est engagée à regarder de près ces éléments dans l’intérêt des jeunes et des équipes.
Avec cette réunion, la DGER a acté la sortie de crise entamée le 31 août dernier… L’intersyndicale restera particulièrement attentive aux suites à venir. Elle s’est déclarée également prête à tourner cette page qui aura été marquée par la détermination farouche des personnels pour défendre leurs conditions de travail et leur statut..