Directeur général adjoint,
Monsieur le Directeur général adjoint,
La DGER
DGER
Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche
a décidé de la mise en place il y a quelques années d’un logiciel de gestion des élèves/étudiants : FREGATA, l’outil qui remplace désormais Libellule.
Depuis sa mise en production, le sentiment qui domine pour nos collègues administratif.ves chargé.es de son utilisation est que ce logiciel n’est pas abouti et que la charge machine dimensionnée pour une utilisation correcte de l’outil n’est pas adaptée aux besoins des utilisateurs finaux mais aussi aux demandes et au cadre fixé par la DGER.
Comme pour toutes les rentrées, une enquête sur les effectifs est en cours et la date butoir pour la remontée était initialement fixée pour le 06/09. Un message est depuis arrivé, reportant ainsi l’enquête au 08/09, c’est-à-dire ce jour…
Les problèmes qui se posent de manière récurrente pour nos collègues avec FREGATA sont les suivants :
- Ils ne peuvent pas se connecter à FREGATA ou très difficilement car tous les établissements d’enseignement tant publics que privés l’utilisent en même temps.
- Le temps de traitement est très long quand il n’échoue pas.
- Ils ne peuvent pas rentrer les nouveaux arrivants, enlever les démissions, faire le lien avec Pronote, faire les extractions pour PIX…
Par ailleurs, le problème FREGATA s’étend de manière catastrophique, avec notamment le module de facturation "OGAPI". D’une part, il n’y a plus le choix de logiciel depuis la fin de libellule et d’autre part, la présentation du module s’est faite fin juin par une visio de 2 heures sans aucunes explications pratiques affolant de fait tout la communauté concernée par son utilisation, en les renvoyant à des modules d’autoformation à suivre pendant l’été pour voir le fonctionnement réel de l’outil…
À ce jour, les agent.es commencent à angoisser sur la mise en œuvre de la première facturation des pensions du 1er trimestre, alors que déjà la charge de travail qui repose sur leurs épaules est énorme..
Nous demandons donc que les enquêtes en cours soient prolongées de plusieurs jours mais aussi qu’une solution pérenne soit trouvée pour que l’utilisation de FREGATA ne soit plus synonyme de souffrance pour les agent.es de la filière administrative en particulier.
Ne doutant pas de l’attention que vous saurez porter sur ce sujet, nous restons à votre disposition, pour tout échange complémentaire que vous jugeriez utile.
Dans l’attente, veuillez recevoir, Monsieur le Directeur général adjoint, l’assurance de notre considération distinguée.
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Copies : SG SG Secrétariat Général et SG adjoint, DGER, chef du SRH, Président du CHSCTM, Secrétaire du CHSCTM