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ONIRIS : Le DGER doit prendre des décisions face à la gravité de la situation

vendredi 12 octobre 2018

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Suite à l’alerte des étudiant.e.s d’Oniris sur la situation de leur établissement, les représentant.e.s de la FSU FSU Fédération Syndicale Unitaire , de FO FO Force ouvrière et de la CGT CGT Confédération générale du travail ont décidé de ne pas siéger au CNESERAAV CNESERAAV Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche agricole, agroalimentaire et vétérinaire le 11 octobre, empêchant la tenue de la réunion. La rencontre initialement prévue entre les étudiant.e.s et la DGER DGER Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche en fin d’après-midi a pu ainsi se tenir en lieu et place du Conseil national, avec comme premier point à l’ordre du jour la situation d’Oniris.

La veille de ce CNESERAAV CNESERAAV Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche agricole, agroalimentaire et vétérinaire , les étudiant.e.s élu.e.s d’Oniris avaient alerté le DGER DGER Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche sur la dégradation de la situation au sein de leur établissement. Pour cela, elles.ils ont organisé une action d’envoi massif de mails (800 d’après le DGER lui-même).

Nos organisations syndicales, qu’elles.ils avaient également sollicité, ont décidé d’appuyer cette démarche puisque leurs revendications rejoignent celles des personnels.
Pour cela, les OS OS Organisations Syndicales avaient demandé au Conseiller à l’Enseignement Supérieur de recevoir en urgence une délégation. Face au refus du Cabinet du Ministre d’accorder cette rencontre, elles ont décidé de ne pas siéger au CNESERAAV.

Dans leurs déclarations avant de quitter la salle, les OS ont dénoncé l’absence d’avancées de la médiation engagée depuis un an et pourtant obtenue de haute lutte, et ceci dans un contexte local de casse du dialogue social, de dysfonctionnement des instances, d’accroissement du mal-être des personnels et maintenant de celui des étudiant.e.s, ...

Les OS considèrent qu’à ce stade il y a une mise en danger des personnes et que le DGER doit prendre ses responsabilités pour que cela cesse.

Paris, le 11 octobre 2018